Ledes & Limericks. Saturday December 30 2017.

Charities See Surge of Giving Ahead of Change in

Tax Law

A savvy young fellow from Sparks

Gave money to save baby larks.

The write off decreased

His tax bill and greased

His presence at posh waterparks.

U.F.O.s: Is This All There Is?

There’s nothing that I’d rather see

Than men from the stars come to me.

I’d first have to say:

“Can you find a way

To make Trump your prime deportee?”

City of the Future? Humans, Not Technology,

Are the Challenge in Toronto

The future belongs to the snoops;

There’s more of ‘em than army troops.

The techies have made

Good people afraid

They’re scrutinized down to their poops.

Running an Indie Bookstore, With Churchillian Resolve

@coreykilgannon

If I could drink whisky like him

And never care that I ain’t slim --

A Churchill I’d be

To my family --

And blow smoke at ev’ryone prim.

Biggest Winner of Famed Buffett Bet? Girls Charity

@NicoleFriedman  

Ol’ Warren Buffett has such gelt

He wipes himself with bathroom felt.

He gives to charities, no sweat.

(But only when he’s lost a bet.)

ガーゼのマスクを着ている男

これは私の黒い恐怖です。
提供せずに供給する - 
ピンチされたビューとピンチした足。

this is my black fear,
to supply without serving --
pinched view and pinched feet.

Ledes & Limericks. Friday December 29 2017

"Every journalist who is not too stupid or too full of himself
to notice what is going on knows that what he does is morally
indefensible. He is a kind of confidence man, preying on people's
vanity, ignorance, or loneliness, gaining their trust and betraying
them without remorse.”   Janet Malcolm.

From Forbes.

Reporters’ anomalous role

In baring another man’s soul

May lead to great awe --

But I never saw

One that I would touch with barge pole.

In the long run, Goldman will likely be a winner under the new tax system.
Banks are relatively high tax payers, so they stand to benefit a great deal
from a reduction in the headline corporate rate from 35% to 21%.
Goldman has averaged a 30% tax rate over the past three years.
 From the Wall Street Journal

I say we cannot do enough

To make banking bizness too rough.

A commie I’m not

But banks are a blot,

And ought to be taxed to the buff.

Bookstore Chains, Long in Decline,

Are Undergoing a Final Shakeout    

 from the NYTimes

The book stores where I lulled away

My youthful angst from day to day

Are gone like gravy from my plate --

All licked away by cyber fate.

Where half price tomes once beckoned me,

With dull remainders almost free,

And clerks with glasses read on stools,

There’s now a Zales with chintzy jewels.

Ecommerce, you’re a villain sure --

Closing bookeries demure.

Without book havens made of bricks

I’ll just stay home and watch Netflix.

Want to be happy? Think like an old person.

The secret to happy old age

Is not thinking it is a cage --

But scaffolding which

Allows me to snitch

a spotlight once more on the stage.

que faire avec ce trou noir dans votre jardin

Les choses vont très bien quand soudainement vous vous réveillez un matin pour trouver un trou noir dans votre jardin. Il n'y a pas besoin de paniquer ou d'appeler le 911; C'est un événement commun et quotidien dans le monde entier. Les gens ont eu affaire à des trous noirs dans leurs arrière-cours pendant de nombreuses années sans se transformer en cheveux, et vous pouvez aussi. Maintenant, si c'était un Black Hole dans votre cour avant, ce serait une véritable catastrophe. Mais, comme nous le disons, la plupart des trous noirs apparaissent du jour au lendemain dans la cour, et voici 8 conseils sur ce qu'il faut faire avec eux.


1. Plus de soucis de recyclage! Jetez simplement tout ce dont vous ne voulez pas ou n'avez plus besoin dans votre Black Hole. Nous vous suggérons de mettre une clôture autour de celle-ci, afin d'empêcher tout (ou n'importe qui) de tomber dedans par un "accident". Ha. Ha. 2. Troll pour le capitaine Janeway. Elle est toujours là quelque part, malgré la fin heureuse d'Hollywood qu'ils ont essayé de nous arracher! Rig jusqu'à environ 20 livres. la ligne de pêche et l'appâts avec un thermos de café noir fort - elle a toujours fait comme son java de cette façon! 3. Les capucines se comportent très bien comme une frontière pour les trous noirs. Vous n'aurez pas besoin de les arroser; votre Black Hole réussira à abattre beaucoup de nuages ​​de pluie alors qu'ils essaient de passer au-dessus de votre tête. 4. Puisque les trous noirs génèrent une quantité inconcevable d'énergie, vous pouvez établir une prise de courant qui exécutera chaque appareil électrique dans votre maison. Invitez juste quelques-uns des garçons du Grand collisionneur de hadrons en Suisse à s'arrêter pour un barbecue et demandez-leur de le brancher pour vous - ils seront heureux d'obliger après avoir bu quelques bières. 5. The Event Horizon est un bon endroit pour construire un gazebo. La vue est incroyable. Et vous ne serez pas dérangé par les moustiques. 6. Bien que les trous noirs eux-mêmes soient complètement silencieux, certains des objets qu'ils aspirent peuvent être assez raides - comme les avions, les lignes électriques, les personnes nerveuses ou les bâtiments. Pour étouffer tout son désagréable, nous vous suggérons de remplacer les capucines par une haie d'aubépine. 7. De temps en temps, quelque chose d'une autre dimension peut forcer sa sortie de votre Black Hole et veut traîner dans le quartier. La plupart de ces choses dégoûtantes ne sont pas malignes, juste curieuses. Il est préférable d'avoir un très grand aspirateur, afin que vous puissiez les nettoyer quand ils entrent dans notre monde; la plupart des décharges les enlèveront de vos mains moyennant des frais supplémentaires. 8. Les trous noirs ont tendance à faire des méandres. Cela signifie que votre Black Hole peut se retrouver dans la cour du voisin, ou même dans la rue où il pourrait perturber la circulation. Si votre Black Hole veut se promener, vous pouvez le garder en place en lui offrant des sacrifices tout en étant vêtu d'une jupe d'herbe avec votre visage peint en violet foncé. Il suffit de s'incliner devant lui, en scandant "Bugawuga mufu, O puissant!" Et de jeter des gésiers de poulet dedans. Cela va s'installer et devenir comme un membre de votre propre famille en un rien de temps.

幽霊

彼らの目的は混乱し、 彼らは分子間を移動する ダストモチーフと見る


their purpose confused, they move between molecules we see as dust motes

小松コーン

無限停止 小さな松のすぐそば 円錐 物事を考える


infinity stops just short of the small pine cone to consider things

霜のクモ

霜のスパイダーニット 私の愛の着物 私に冷たく成長する人


the frost spiders knit a kimono for my love who grows cold to me

Ledes & Limericks. Thursday December 28 2017

Women In Sports Journalism Are Still Putting Up With A Lot Of Bullshit

From Deadspin

A jock is eternally thick.

He makes women writers quite sick.

His macho mindset

Makes his mom regret

She didn’t brain him with a brick.

Fruitcake also famously stores well.
The Pioneer Heritage Museum in Hurricane, Utah,
has a 110-year-old fruitcake on display.

From the Wall Street Journal

A symbol of sweet endlessness,

The fruitcake first was used to bless

Both Adam and Eve

When they had to leave

The Garden and eat watercress.

The Transformation of the American Farm

Monoculture is the norm/

on the modern working form/

though my rhyme is off a bit/

there’s no use to pick a nit/

soon a farm bred chick will be/part of ancient history.

The Internal Revenue Service
 sparked last-minute confusion
 over the eligibility of property-tax
 prepayments, making local governments
 scramble Thursday to interpret the IRS notice
 with just days left in the year.

When property taxes you pay
make sure tis done in the right way.
an IRS goon
can make a man swoon
for checking box 'B' and not 'A.' 

le mariage d'un imbécile

(suite de 'Le clown frit un œuf') Quand Tim Holst a appris que j'étais fiancée, il m'a envoyé un cadeau de mariage - une chaise à bascule en bois. Je me suis souvent demandé ce qu'il voulait dire par ce cadeau, ce qu'il était censé symboliser. Je n'ai jamais compris. Mais c'était bien de faire dormir nos huit enfants au fil des années. Steve Smith m'a envoyé un chèque, tout comme Chico et Roofus T. Goofus. Le Suédois Johnson m'a envoyé une bouteille de Geritol - un tonique de sang archaïque qui était supposé remonter les vieillards dans la chambre à coucher qui est encore en circulation aujourd'hui comme «complément alimentaire». La dernière fois que j'ai vu Amy il y a six mois, avant qu'elle ne déménage en Virginie pour vivre avec notre fille aînée, elle a donné une conférence à l'église - et à un moment elle m'a regardé pour me dire: "Je suis désolée. vous raconter les histoires que vous aviez besoin d'entendre. " J'ai compris très bien ce qu'elle voulait dire, mais je ne suis pas sûre de pouvoir l'expliquer à quelqu'un d'autre. Quand vous êtes marié depuis quinze ans, vous développez une langue privée qui exclut tout le monde, même vos enfants. Peut-être que la meilleure façon d'expliquer ce qu'elle voulait dire était de raconter certaines des histoires auxquelles elle faisait allusion. Notre réception à Williston était bordée d'une farce de la sorte de ring gag quand l'une des filles de fleurs se fâcha contre Amy pour attacher de jolis petits bourdons aux fleurs en soie que nous avions utilisées pour décorer le hall du sous-sol des SDJ - cette folle pensait que c'était une profanation. Rites sacrés du mariage, alors elle a couru autour de déchirer les abeilles et de déchirer les trous dans les fleurs. Avec quelques frères d'Amy, je l'ai finalement emmenée dans une moitié de Nelson et l'ai jetée dehors. Et s'il vous plaît rappelez-vous - il n'y avait absolument aucun alcool servi à cette réception LDS. Ensuite, le gâteau de mariage que Alice, la mère d'Amy, a commencé à faire basculer comme la tour penchée de Pise, s'est finalement effondré sur le sol du sous-sol avant que nous puissions le consolider. Nous l'avons toujours servi, mais seulement les portions supérieures. Et finalement, le photographe de la réception, un ancien petit ami d'Amy, a délibérément pris toutes les photos hors focus et nous a fait payer à l'avance avant de voir l'album. Quand nous l'avons eu, je ne pouvais pas m'empêcher de rigoler au début désastreux de notre mariage - jusqu'à ce que je réalise que Amy sanglotait tranquillement dans un coin. Elle pensait vraiment que notre mariage était maudit par un esprit vagabond et malveillant qui s'était installé sur nous comme un vampire invisible - en suçant toute la joie et la satisfaction qui en découlait. J'ai fait de mon mieux pour lui remonter le moral - mais les clowns ne sont pas doués pour remonter le moral des gens sans leur bouteille de seltzer ou leur petit cochon dressé.


Le mariage actuel a eu lieu dans le temple de Salt Lake City à Salt Lake City. Amy était une fille grégaire et vivace, toujours désireuse de plaire et prête à essayer quelque chose de nouveau. Quand j'ai abordé le sujet de travailler comme une équipe de clown mari et femme à elle, elle était enthousiaste pour cela. Jusqu'à ce que, c'est-à-dire, l'une de ses sœurs lui ait utilement rappelé un verset des Écritures de la section 88 des Doctrine et Alliances. Le verset 121, pour être précis: "Par conséquent, cessez de tous vos discours légers, de tous les rires, de tous vos désirs lubriques, de toute votre fierté et de votre légèreté, et de toutes vos mauvaises actions." Cela a d'abord créé un fossé énorme entre nous, car Amy était de la persuasion de Brigham Young quand il a déclaré "Le Royaume de Dieu ou rien!" Elle a soudainement réalisé que j'étais une âme damnée pour vouloir faire rire les gens, et elle me suivrait pour Perdition si elle m'a encouragé ou participé à tout type de clown professionnel. La même soeur qui lui avait initialement montré que l'écriture pernicieuse recommandait un divorce rapide comme la meilleure solution. (Et mes enfants se demandent pourquoi je déteste tant leurs tantes maternelles.) Cette écriture LDS particulière a été une épine dans le pied des comédiens LDS pendant de nombreuses années. Il semble dire couper l'affaire drôle. Mais pris dans son contexte, cela signifie simplement ne pas se moquer des choses sacrées - ou, comme le dit Ecclésiaste 3: 4: «Il est temps de pleurer et de rire; Un temps pour pleurer, et un temps pour danser." Je suis sorti de cette crise conjugale avec ma croyance dans le caractère sacré d'un bon rire intact, et finalement Amy a modéré ses opinions de sorte qu'elle ne pensait pas que j'étais un client automatique pour l'amiante longjohns. Mais elle a refusé de jouer avec moi (même si elle a accepté d'être mon assistante quand j'étais Ronald McDonald au Kansas). Permettez-moi de vous demander à tous les clowns et comédiens que vous épousez: votre conjoint pense-t-il que vous êtes drôle? Assez curieusement, c'est une question que je n'ai jamais posée à Amy - pensait-elle que j'étais un bon clown? Et elle n'a jamais offert cette information. Au fil des années, elle a cessé de rire quand j'étais là - ou est-ce que j'ai arrêté de rire quand elle était là? Je me souviens encore de son rire bouillonnant au début de notre mariage quand quelque chose l'amusait - un passage d'un livre de James Herriot ou d'un des zingers de Hawkeye Pierce de "MASH". J'aimais cette mélodie étincelante Et ça me manque terriblement, même aujourd'hui.



Mais je ne suis pas un clown au coeur brisé. Loin de là. Je suis un vieux garçon confortable qui tripote les mots et trouve son estime de soi en dehors des liens conventionnels du mariage. Tous les contes de fées ne sont pas destinés à se terminer heureux pour toujours. Et même quand les contes de fées se tordent - encore, c'était un conte de fées pour tout cela. Et quelque chose pour apporter de l'émerveillement dans le monde.

Photo Essay: The Food Court at University Mall. Orem, Utah.

Malls are cavernous temples to consumerism. They reek of palpitating wallets and lubricious purses. Ever since developing a social conscious, I have avoided them. But today I walked into the University Mall Food Court to sample their soulless cooking. So if you think this is going to be a balanced piece of writing, you are in for a keen disappointment.

I got there right at eleven in the morning; the staff was still rinsing bilge off the tabletops. Somehow I had thought there were dozens of food shops there -- but there were only eight active ones. The Cinnabon was dark and empty.

Why do people eat in such a mausoleum? Can they possibly enjoy the experience? I began regretting my decision even before ordering anything. The place haunted me like an abandoned train station, with wraiths drifting about waiting to take a trip that would never happen. How can one eat in such a graveyard?

But then I ordered a slice of plain cheese pizza at Villa Italian Kitchen. The crust was crisp and the taste was honest. I thoroughly enjoyed each bite. It was in my face and on my tastebuds. I liked it, and suddenly felt a giddy sense of remorse for initially feeling so badly about the place. I was being an ignorant snob about the whole thing.

Next up I ordered loaded french fries from a Philly Steak place. They came with cheese sauce and bacon. The bacon, sadly, turned out to be crumbled to dust. But the cheese sauce was rich and thick, drowning the fries in a glorious lactose bog. Not too shabby.

But then the sesame chicken got me at the Flaming Wok. I should say that the sauce on the breaded chicken hunks got me. It was gluey and cloying, and even the noodles I ordered with it did not cut the saccharine and sodium - charged enormity of my blunder. I ate mechanically, doggedly, since I had paid over six dollars for it. I felt shamefully full, but not fed.

Abruptly disoriented, I looked around at the filling tables, only to see inhuman blurs leering at me. It was as if I had committed a crime in a Kafka story.

I wanted to flee down the nearest hallway, under the glare of neon lights that turned my skin a sickly white.

The sight of this young woman restored me to sanity -- at least to enough calmness to bus my tray, put on my jacket, and walk out into the cold, refreshing air to catch the 850 back to my apartment -- where I took 500 mm of Naproxen, soaked my feet in cold water, and drank nearly a liter of Shasta club soda before lying back in my recliner for a nap.